Vous avez certainement entendu parler de Réné Galinier ce retraité de 73 ans qui, après avoir déjà été par trois fois victime de vols et étant encore une fois de plus agressé chez lui, a eu le réflexe panique de se défendre. Il a tiré au jugé sur les deux étrangères en situation irrégulière qui avaient pénétré chez lui par effraction et le menaçaient ...
Ce pauvre retraité est depuis maintenant 29 jours maintenu en détention avec la promiscuité de vrais délinquants beaucoup plus jeunes et certainement là pour des faits similaires à ceux perpétrés par les deux roms qui ont agressé notre retraité.
Les médias préférant poursuivre leur propagande gouvernementale passent sous silence cette impensable injustice dans un pays où on nous serine des théories sur les droits de l'homme à tout va ... Il faut dire que maintenant la France brille par sa préoccupation essentielle à défendre plutôt les malfrats, si possible étrangers, que les victimes bien Françaises...
Aujourd'hui on apprend qu'un juge des libertés et de la détention est allé à l'encontre des réquisitions du parquet en libérant Monsif Ghabbour, 25 ans, un délinquant multirécidiviste et donc très connu de la justice... (...)
Le tout puissant "Zébulon 1er" avait prononcé un discours dans lequel il avait prôné le renforcement de l'arsenal répressif contre les délinquants avec notamment la déchéance de la nationalité pour les personnes d'origine étrangère auteurs d'agression contre des représentants de la force publique...
Après ces belles paroles on peut maintenant constater avec quel niveau de fermeté sont traités les délinquants mutirécidivistes ... Pauvre France ...
Mais il reste quand même quelques Français lucides qui contestent au travers de comités de soutien sur facebook, un site web a même été mis en ligne pour soutenir ce pauvre René Galinier...
Une lettre signée Richard Roudier Président de l'association CEPE liberté demande aux Français de se mobiliser pour soutenir et aider René Galinier dans cette terrible épreuve que lui inflige la justice de son pays :
Chers amis,
Au cour de l'été, j'aimerais ne pas avoir à vous écrire. Mais un juge a fait écrouer le 5 août dernier un paisible retraité de 73 ans de Nissan-Lez-Ensérune. Oui. Vous avez bien lu. René Galinier, un Français comme vous et moi, malade et sans moyens de défense, au moment où vous lisez cette lettre, se retrouve dans une prison, seul au milieu d'une faune qu'il est inutile de vous décrire.
J'ai besoin de votre aide immédiate pour faire sortir René de cet enfer. Si nous n'intervenons pas, il peut connaître le sort tragique de notre compatriote Gaston Malafosse, coupable d'avoir résisté contre six « jeunes », et qui est mort en prison... après seulement quelques jours de détention provisoire !
Mais quel crime a donc commis René Galinier pour se retrouver en prison ?
René a commis le pire des crimes aux yeux de certains juges. Celui de se défendre !
Voici un bref rappel des faits tels que j'ai pu les reconstituer en interrogeant ses proches, ses voisins et son avocat.
De santé fragile, René Galinier fait la sieste dans sa chambre. Vers 17h30, il est réveillé par le bruit de volets que l'on crochète. Brutalement sorti de son sommeil, il voit une main forcer la fenêtre. Le retraité se lève totalement paniqué. Depuis quelques semaines, le voisinage vit dans la peur des cambrioleurs et des détrousseurs de maisons, ces criminels qui torturent leurs victimes pour un maigre butin. Déjà douze maisons de sa rue ont été « visitées » et René a été volé, chez lui, pas moins de trois fois !
Le premier réflexe de René est d'appeler les secours. Mais il est tellement ému qu'il ne parvient pas à se servir du téléphone portable. Il se rabat sur le téléphone fixe. Dans la précipitation, il compose le 18. Aux pompiers, il dit : « Appelez vite les gendarmes, on va commettre une infraction chez moi... »
Pendant ce temps, les cambrioleurs ont cassé le carreau d'une autre pièce et pénètrent à l'intérieur de la maison plongée dans la pénombre. Terrorisé, René Galinier se rend compte que les intrus sont tout près. Combien sont-ils ? Que vont-ils me faire ? Se demande-t-il. Pour se protéger, il se saisit de son vieux fusil de chasse rangé dans une penderie et prend quelques cartouches cachées dans un tiroir où les petits-enfants ne peuvent les trouver.
Homme d'ordre, René trouve le courage de téléphoner à nouveau. Il réussit cette fois à joindre la gendarmerie : « Ils sont là, venez vite ». Mais René est à bout. Voyant que personne ne vient, il panique... et tire au jugé sur les cambrioleurs dont il devine la silhouette dans la demi-obscurité. Il rappelle les gendarmes en disant : « Ça y est j'ai tiré » puis remet spontanément son fusil au policier municipal arrivé le premier.
Alors que les cambrioleurs (les secours découvrent qu'il s'agit de deux Roms étrangères) sont évacués, le septuagénaire est placé en garde à vue.
Au tribunal, le juge d'instruction, contrarié par le geste de défense du retraité, prend sur lui de renverser un droit vieux de plus de deux mille ans, celui de la légitime défense, un principe hérité des Romains et reconnu dans notre justice tant par les rois de France que par la République. Pour le magistrat, « ce geste, fût-il d'autodéfense, reste répréhensible et justifie la détention ». Voilà pourquoi, par la décision idéologique d'un seul juge, René Galinier, un Français qui vivait sa vie de retraité sans rien demander à personne, se retrouve du jour au lendemain en prison.
L'incarcération de ce septuagénaire, porte drapeau des Anciens Combattants, a scandalisé ses voisins et a révolté les gens de bien.
Le député Lionel Luca a déclaré : « Que faut-il faire maintenant ? Se laisser dépouiller ? Se laisser torturer comme on a pu le voir dans de trop nombreuses affaires récentes ? » Pour l'élu du peuple, les magistrats dans cette affaire ont légitimé la délinquance et ont refusé de défendre les citoyens contre le crime.
Devant une délégation du villagevenue réclamer la libération du retraité, le procureur Patrick Mahé s'est malheureusement rangé aux côtés du magistrat instructeur. Il a eu l'affront d'avouer qu'il préfère les cambrioleurs aux honnêtes gens: « Ces Roms (...) sont aussi des victimes de la société. »
Dès que j'ai appris la nouvelle, j'ai décidé de venir en aide à René. Nous savons d'expérience comment ces premiers jours sont décisifs pour la survie d'un Français, surtout aussi fragile que lui, dans l'univers inhumain des prisons. Nous lui avons tout de suite adressé un premier mandat pour qu'il puisse s'acheter les produits d'hygiène indispensables et faire face aux dépenses de la vie derrière les barreaux.
J'ai également pris contact avec son avocat, et le CEPE a effectué un premier versement pour que le grand-père de Nissan-lez-Ensérune ait droit à une véritable défense.
J'ai maintenant besoin de votre aide immédiate pour réunir au moins six mille eurospour faire face aux frais de la défense de René Galinier et à son soutien matériel durant son emprisonnement. Sa libération, sa mise hors de cause, dépend aussi de vous.
Ce qui est arrivé à René Galinier peut vous arriver demain si nous n'intervenons pas tout de suite, non seulement pour qu'il puisse rentrer à la maison, mais aussi pour arrêter cette dérive judiciaire qui nous menace tous et qui ne profite qu'aux délinquants.
Bien à vous,
Richard Roudier, président du C.E.P.E.
Site : Liberez René Galinier